Podcast : Interview audio avec Gregoire Dandres de Mulebar
viaPodcast : Interview audio avec Greg de Mulebar.
Grégoire DANDRES, représentant de la marque Mulebar en France, nous fait découvrir cette jeune et petite société, ses ambitions mesurées, ses produits à travers le commerce équitable et ses volontés écologiques. Grégoire répond à toutes nos questions avec franchise et honnêteté !
Transcription texte de l’interview :
Jean-Marc : Bonjour et bienvenue sur le blog Nutrition du Sportif, aujourd’hui je reçois Greg de Mulebar, une société de produits énergétiques donc vous avez pu voir des tests et des reportages sur le blog déjà. Bonjour Grégoire
Grégoire DANDRES: Bonjour Jean-Marc, bonjour à tous.
J.-M.: Bonjour, est-ce que tu peux te présenter au public déjà, aux auditeurs et aux lecteurs?
Grégoire DANDRES : Ben écoute, je m’appelle Grégoire et Greg c’est le diminutif pour faire plus simple sur Facebook et autres. Je distribue la marque Mulebar depuis 3 ans maintenant. Au début nous étions 2 en France, j’avais mon associé Guillaume qui était beaucoup plus connu que moi parce que moi je m’occupais plutôt du back-office et de tout ce qui est administratif, étant donné que j’ai un travail à côté de ce job-là donc qui me prend beaucoup de temps donc je travaille pour Mulebar plutôt le soir ou en heures creuses. Guillaume a quitté la société au bout de 2 ans, à la fin de l’année dernière, ce qui fait qu’au jour d’aujourd’hui je suis tout seul à mener la barque et toujours en plus de mon job à côté.
J.-M.: D’autres jobs, mais c’est quoi l’autre job juste à côté?
Grégoire DANDRES : Le job que j’ai à côté : je suis consultant dans les boissons parce que j’ai fait toute ma carrière dans des sociétés, dans des gros groupes notamment chez Pepsi ensuite j’ai été directeur commercial de RedBull et actuellement je travaille donc pour Cacolac dont je suis le directeur commercial.
J.-M.: OK d’accord. Pas tout à fait en rapport avec les produits énergétiques c’est même plutôt leur oppose on va dire, si on prend RedBull.
Grégoire DANDRES : Ça dépend comment on le voit, si tu prends RedBull c’était en lien même si je déconseille de consommer du RedBull pendant l’effort, mais RedBull est quand même partenaire de pas mal de sportifs et d’activités sportives. Si on regarde Cacolac, Cacolac c’est une boisson 100% naturelle donc pareil c’est à base de lait qui a 1% de matière grasse, mais ça ne se consomme forcement pas pendant l’effort ; mais t’as du sucre, t’as du cacao don ça peut se consommer avant, après…ça fait partie des boissons qui ne sont pas contre-indiquées. Ce n’est pas forcément le mieux, mais on dirait quand même un petit lien même si le fait de distribuer Mulebar c’est vraiment fait de manière un petit peu occasionnelle, c’est qu’on a eu l’occasion il y a trois ans, de rencontrer les créateurs de Mulebar et qui n’avaient pas de distributeur pour la France ; donc à l’époque on s’est dit pourquoi pas nous alors qu’on avait vraiment très très peu de contact dans le réseau sport. Voilà on est parti de zéro avec Guillaume et on a monté ça client par client, barre par barre.
J.-M.: Justement quand on lance une marque diététique et le marché qui est vraiment concurrentiel en France, c’était comme osé au départ non?
Grégoire DANDRES : Alors au fait c’était osé, je pense que c’est aussi le fait de ne pas connaitre le marché qui nous fait y aller un petit peu comme ça voilà… dans l’inconnu, mais nous on est parti du principe simple, qu’on a goûté les produits, qu’on a regardé le concept et qu’on a vu ce qui avait de disponible sur le marché à l’époque; et c’est vrai que le marché a pas mal évolué depuis, il y a énormément de nouvelles marques qui sont arrivées. Mais quand on a lancé il y a trois ans, on peut dire que Mulebar était vraiment très novateur. Dans le concept, déjà dans le gout, c’est ce qui fait la force de la marque on a des produits qui sont vraiment exceptionnels et la plupart des gens qui les gouttent s’en rendent compte et restent fidèles à la marque. Donc on s’est dit oui il y a beaucoup d’acteurs, mais beaucoup font la même chose, mais nous on avait vraiment une proposition complètement différente et donc ça vaut le coup de se lancer, voilà.
J.-M.: Vous n’avez jamais eu de doute à certaines périodes ?
Grégoire DANDRES : Bah! Écoute non parce que moi j’ai eu la chance d’avoir des revenus à côté donc qui me permettent de travailler Mulebar sans avoir une pression de folie; c’est aussi la raison pour laquelle Guillaume est parti. C’est que lui, il s’était mis à fond sur Mulebar et il sortait de l’industrie automobile où il avait un salaire de cadre. C’est vrai qu’il n’arrivait pas à se payer à hauteur de ce qu’il souhaitait, et donc il a dû partir lorsqu’il était en fin de droit au niveau du chômage qui l’accompagnait dans le lancement de l’entreprise. Et il a repris un travail de salarié, parce qu’il avait de vrais problèmes financiers. Parce que pourquoi se payer un salaire avec les charges en vendant des produits diététiques, il faut en rendre compte énormément et… on n’y est pas encore.
J-M.: D’accord OK, on va commencer par parler des engagements qui vous démarquent des autres marques, par exemple vous êtes adhérent du 1% force de planète, peux-tu m’en dire plus là-dessus?
Grégoire DANDRES : Oui, le 1% tout monde connait, c’est par le biais de Yvon Chouinard qui est le créateur de Pentagonia, qui a un gros engagement environnemental et donc qui a créé ce mouvement qui regroupe des entreprises qui souhaitent reverser 1% de leur chiffre d’affaires a des associations de leur choix, sans forcément être des associations qui ont un but environnemental, et pour la France nous on a choisi Mountain Rider qui est une association qui est basée à Grenoble qui fait à la fois de la dépollution à la fonte des neiges et aussi de la sensibilisation de l’éducation pour que les gens ne jettent pas du télésiège, leurs mégots et leurs saloperies pensant que la neige les recouvre, parce que quand on n’a plus de neige c’est dégueulasse.
J.-M.: Tout à fait, tout à fait. On voit surtout sur le site internet, sur les produits aussi, qu’il y a des logos commerce équitable, logos Européens, agriculture et biologiques, ils souvent mis en avant ; à quoi cela est-il important à tes yeux?
Grégoire DANDRES : Eh bien écoute-nous… c’est important, ça va être le reste de la démarche ; donc 1% pour la planète et on a des packagings, tous ne le sont pas encore, mais on y vient. On a trois packagings qui sont compostables, c’est-à-dire que le film qui enveloppe les barres n’est plus en papier d’aluminium comme la plupart des produits. C’est de la cellulose de bois qui mise dans le terreau ou dans la terre au bout de 6 à 8 semaines dans une atmosphère humide se décompose entièrement sans aucun résidu néfaste pour l’environnement. Donc c’est encore mieux que… biodégradable, parce que biodégradable tu peux avoir des résidus qui ne sont pas bons pour l’environnement. Compostable c’est-à-dire que tu peux utiliser la terre qui est issue de la décomposition pour faire pousser des choux et des carottes. Donc ça c’est important nos packagings, nos boites sont en carton aussi et en creux végétal et puis donc on a certains produits qui sont commerces équitables, c’est-à-dire UNZA et MANGO, les abricots et les mangues sont commerces équitables. Donc ça c’est les deux créateurs de la marque qui ont cette conception du commerce et qui veulent autant que faire se peut aider la population locale quoi, c’est tout le principe de cette œuvre-là. Pour la partie bio c’est en train de changer parce qu’on a des problèmes d’approvisionnement il y a des barres qui ne le sont plus. Exemple les pommes ne sont plus bio par exemple parce qu’il y avait un problème de sourcing et quand tu veux augmenter ta capacité de production, comme la marque se développe énormément ,tu peux être limite dans le sourcing de ces produits-là. Eh… les deux créateurs Alex et Jimmy préfèrent avoir un produit de qualité plutôt qu’un produit bio, parce que tu peux trouver la pomme bio qui n’est pas forcement bonne. Alors que là, ils voulaient maintenir un niveau qualitatif et gustatif ; donc ils ont préféré repasser sur des pommes qui n’étaient pas bio mais pour maintenir un produit au top.
J.-M.: Tu viens juste de parler des créateurs de la marque, sont ils Français, tu peux nous dire un peu plus?
Grégoire DANDRES : Alors, non, ils sont anglais; Alex et Jimmy, c’est des gens qui ont entre 42 et 43 ans, qui a la base n’ont rien à voir avec le business qui se sont lancé dedans un peu au hasard on va dire, avant tout ce sont des vététistes et des gens qui font de l’escalade et de la montagne, donc il y a 5 ans ils sont partis faire l’Aconcagua qui est un pic à six milles dans les Andes. Donc ils sont partis avec des produits énergétiques et à cinq milles mètres d’altitude, qui déjà une altitude assez élevée, ils ont d’énormes problèmes gastriques du fait de leur alimentation ce qui les a empêchés d’aller jusqu’en haut, et donc ils sont descendus. Et donc rentrés en Angleterre, ils se sont dit bon tous ces produits la qui sont assez dégueulasses il faut le dire, on en veut plus, et sur le marché ça n’existe pas des produits à la fois qui apporte de l’énergie, mais aussi qui soient bons gustativement et qui permet de prendre du plaisir pendant l’effort. Ils sont partis, et ils ont commencé à faire leur propre produit eux même, dans leur cuisine. Et puis, aux courses de VTT où ils les ont fait goûter à leurs potes, et puis , tout le monde leur disait que c’était très bon et qu’ils devraient faire quelque chose jusqu’au jour ils sont dit pourquoi ne pas lancer une marque? Et voilà c’est parti de là.
J.-M.: D’accord OK. Mulebar compose de 7 barres énergétiques, comment se déroule le choix d’un gout en particulier?
Grégoire DANDRES : En fait la base énergétique est exactement la même pour toutes les barres, c’est à base de sirop de riz brun, de soja, de graines de chanvre écossais, de flocons d’avoine. Donc toutes les barres ont exactement la même composition énergétique et ensuite est rajouté le fruit qui compose le parfum en fait. C’est vraiment le gout et le parfum qui vont faire le choix de la barre parce que d’après les gouts et les couleurs on ne peut pas le déterminer à l’avance; chacun choisit ce qu’il veut et c’est aussi pour ça que les barres ont toutes une valeur énergétique vraiment très proche.
J.-M.: D’accord OK. Y a la barre chocolat-figue qui a été retirée pour être remplacée par la barre choco-orange. La barre choco figue, la figue ç’est une déception ou elle s’est pas vendue ?
Grégoire DANDRES : En fait, elle tournait plutôt bien en France; on s’est aperçu que c’est une barre très appréciée notamment pour des femmes, non pas parce qu’il y a du chocolat parce qu’il y en avait relativement peu. La figue c’est un fruit très prisé des femmes. On le voit dans les yaourts ou dans les produits types figolus qui sont plutôt des produits achetés par les filles, mais donc la France ne générait pas assez de volume pour justifier une production, et a l’étranger c’est un produit qui marchait très peu. Donc ils ont été obligés de l’arrêter et le remplacer par chocolat orange; mais c’est vraiment que l’on y a pas perdu au change parce que le chocolat orange est vraiment très bon.
J.-M.: D’accord d’accord. Paradoxalement vous avez 7 barres et 8 barres énergétiques, mais compte de barre de récupération, là le choix est plus limité; c’est une contrainte technique ou un choix délibéré?
Grégoire DANDRES : Non pour l’instant c’est un choix délibéré. Donc c’est des barres hyper protéinées avec 20% de protéines, ce qui ont fait des barres pas très protéinées parce que quand on regarde le marché de ces produits-là, il est plutôt vendu dans les magasins de diététique, protéines pour les gens qui font de la musculation, le niveau de protéine est plutôt à 30 voire 40%. Donc nous, ça reste des produits pour les sportifs hors musculation qui sont de gros consommateurs de protéine. Et pour l’instant on a ces deux références-là qui tournent très bien, qui se débarquent énormément sur le marché encore une fois de par leur gout. Et la plupart du temps les produits protéinés sont assez farineux, assez insipides. Moi je ne suis pas spécialiste de ce marché-là, mais il semble que les gens qui consomment les refuels, les barres protéinées Mulebar, les trouvent là aussi bien au-dessus du lot en termes de gout.
J.-M.: D’accord, au niveau des barres je pense que parfois vous avez des critiques, quels sont les critiques qui reviennent le plus souvent?
Grégoire DANDRES : Alors on a des critiques. Souvent la première critique c’est que les barres sont trop grosses. Il y a deux ans toutes les barres faisaient 65grs, elles sont passées en 56grs l’année dernière, ça, c’est une première étape. Même en 56grs on a énormément de retour des gens qui nous disent « Elles sont très bonnes, mais j’ai du mal à la manger entièrement donc j’en prends que la moitie et je referme le packaging, et puis je la mange plus tard, donc ça, c’est un premier point. On a eu l’exemple encore la semaine dernière, il y avait le Raid in France, tu sais le championnat du monde de raid aventure qui se passait en France, on avait deux équipes qui étaient inscrites et qui étaient on dirait aidées, sponsorisées comme on veut par Mulebar, un retour d’expérience de l’équipe Vetopo qui nous disait en effet même un effort aussi intense qui a duré six jours, six nuits en non-stop, ils avaient du mal à manger une barre entièrement. Donc, ceci pour ça qu’il avait été créé les mini barres, c’est-à-dire les barres de 30grs qui permettent aux gens qui ne veulent qu’une demi-portion on va dire, de trouver leur bonheur également. Qu’est-ce qui peut y avoir comme autre critique sur les barres ? Ah il y a des gens qui n’aiment pas les gouts…par exemple il y a la barre Liquorice qui est une barre anisée. Moi personnellement je n’aime pas l’anis ou réglisse, donc ce n’est pas ma préférée de loin, donc tant de gens qui n’aiment pas alors que d’autres ne mangent que celle-ci parce qu’il a trouve trop extraordinaire, beaucoup moins sucrée, intéressante en gout. Moi les gouts et les couleurs, ça fait très longtemps je réagis plus à ça parce que chacun a le droit d’aimer ou ne pas aimer un parfum. Voilà qu’est-ce qui peut y avoir comme autres critiques ? J‘avoue franchement que des critiques négatives sur les barres on en a très très très rarement. Si il y a une semaine on a un revendeur qui a eu un client qui est revenu parce que dans le HUNZA-Nut, il y a un petit bout de noyau d’abricot qui s’était glissé, heureusement il s’est pas cassé une dent, mais ce qui montre bien que nos produits sont 100% naturels, mais ça arrive très rarement.
J.-M.: OK d’accord. Maintenant on va passer au gel si tu le veux bien, alors, il n’y a pas très longtemps il y avait 2 gels, il y a un nouveau qui est arrivé, ça fait 3 gels maintenant; est-ce que tu peux les présenter, est-ce qu’ils ont des vertus différentes, ils ne sont pas utilisés par exemple dans les mêmes filières énergétiques?
Grégoire DANDRES : Tout à fait, en fait on avait trois gels, étant donné qu’on avait le cherry boom qui est un gel à la cerise qui a des vertus antioxydantes, on avait un gel à la pomme qui était aussi antioxydant et on avait le gel au citron qui était un citron, gingembre et guarana. Et là maintenant on a arrêté un gel et il a été remplacé par un gel au café. Donc on avait 3 gels, on en a toujours 3 et vraisemblablement on en aura un quatrième au mois de mai juin l’année prochaine. Je reviens sur les gels, les gels la aussi ont une particularité c’est qu’au moment où on les a lancés il y a 2 ans, on était les premiers en France à arriver avec gels très liquides. Des gels de 37grs avec une composition là encore 100% naturel et ils étaient tous bio à l’époque, ils sont composés de sirop de riz brun, de sirop d’agave, de cristaux de sel d’Himalaya et puis ensuite le fruit, le jus de fruit qui donnait leur gout. Pourquoi du sirop de riz brun, parce que c’est un index glycémique relativement élevé, donc c’est pour une libération d’énergie rapide. Le sirop d’agave lui en revanche, un index glycémique bas, il permet une libération d’énergie plus lente, donc c’est un bon mix d’associer ces deux sucres. On ne voulait évidemment pas mettre de glucose, le glucose c’est un sucre creux-simple qui peut provoquer des crampes et qui passe très très vite dans l’organisme, mais donc qui libère de l’énergie, mais qui repart aussitôt. Donc ce n’est pas du tout un sucre intéressant, moi je conseille de ne pas consommer des produits dans lesquels il y a du glucose. Les cristaux de sel d’Himalaya c’est le meilleur sel au monde, c’est le sel qu’on achète dans les magasins bio et qu’on utilise dans les moulins à sel électriques; je pense que tu connais ça, les moulins Peugeot. C’est un sel de terre en fait qui est extrait de carrière, qui est rose; mais surtout qui est très très riche; il a plus de 60 oligo-éléments. On a mis du sel pour l’hydratation, ce qui est nécessaire. Et ensuite donc le choix de la cerise, de la pomme parce que c’était des parfums qui étaient très peu présents sur le marché des gels à l’époque. Et récemment on la lancé le gel au café, malheureusement il y a un peu de retard à leur image qui fait qu’on est arrivé juste après le lancement d’Overstim, qui a lancé un cette année comme par hasard, mais on est beaucoup plus fort en caféine parce qu’on a 100mg de caféine alors que celui d’Overstim’s en a 75 , et on est toujours donc un gel très liquide. On s’aperçoit qu’on a plutôt fait le bon pari parce que comme par hasard là encore, tous les concurrents dont le leader, arrivent avec des gels liquides; alors qu’avant le marché était plutôt sur des gels très épais, très pâteux et c’est vrai quand on écoutait les consommateurs à l’époque qui nous disaient ces gels-là, ils restent bloqués, il faut boire beaucoup, c’est gênant quand on court, quand on fait du vélo, donc on aime beaucoup vos gels. L’autre avantage des gels Mulebar c’est que quand ils sont très liquides, ça ressemble à un sirop on peut les mélanger dans de l’eau et en faire une boisson; ce que font de nombreux coureurs ou de sportifs cyclistes qui prennent les gels dans leur boisson plutôt que sous forme de gel. Ce qui permet de garder les mains sur le guidon c’est un peu moins risqué.
J.-M.: D’accord, par exemple tu viens de nous parler des cristaux, des sels d’Himalaya, en parlant des vertus innombrables de ces sels, moi ce que j’aime bien avec le commerce équitable c’est les noms utilisés qu’ils font rêver donc qu’il soit le sel de l’Himalaya, jus de citron de Sicile. Par exemple est-ce que le sel de Guérande, en Loire Atlantique, n’aurait pas pu faire l’affaire?
Grégoire DANDRES : Écoute je suis pas un spécialiste, je ne suis pas nutritionniste, ce n’est pas moi qui ai développé les produits. Est-ce qu’il y a eu un marketing ? Il y a le marketing oui et non parce qu’on n’est pas mis en avant sur le packaging donc on ne peut pas dire que ce soit un argument de vente, on en parle comme ça, mais c’est très rare qu’on aborde ces sujets-là qu’on rentre si profondément dans les détails. Donc je ne pense vraiment pas que ce soit un argument marketing. Moi tout ce que je vois c’est que dans les magasins bio tu vas au rayon sel et tu demandes a des spécialistes, tout le monde te dit que c’est le sel d’Himalaya qui est le meilleur sel au monde. Je ne dis pas que le sel de Guérande n’est pas bon, à la fleur de sel c’est parfait, mais je pense qu’au niveau nutritionnel il doit y avoir des bénéfices que le sel de mer n’a pas, qu’il soit de Guérande ou d’ailleurs.
J.-M.: D’accord OK. Tu en as parlé un petit peu tout à l’heure avec des équipes que vous sponsorisez ou d’aides partenaires, sur le site ce n’est pas mis en première page ou en avant. Vous êtes partenaires de beaucoup d’équipes ou d’épreuves ou d’athlètes?
Grégoire DANDRES : Alors justement, on ne l’a pas mis sur le site parce que c’est plus par manque de temps, parce qu’en effet on est partenaire d’énormément d’épreuves et aussi pas mal d’équipes. Quand on dit qu’on est partenaire, on est partenaire plus que sponsor parce que malheureusement on n’a pas les moyens d’offrir des produits donc il y a c’est vrai pas mal d’athlètes à qui ont fait vraiment des tarifs très très spéciaux pour leur permettre d’avoir accès au Mulebar sans avoir à payer le prix fort. Donc on a des triathlètes, des gens qui grimpent, on a des cyclistes, on a des coureurs . Et on a aussi donc je te dis des équipes qui font notamment du raid aventure, on a l’équipe Vtopo et l’équipe Issy Moulineaux Aventure qui consomment le produit depuis très longtemps, donc ça, c’est pour la partie athlète. Pour la partie organisateur, on travaille avec des gens qui organisent des courses de ski de fond comme le marathon de la Clarée qui bosse avec nous tous les ans, le trail Vauban une course qui s’appelle l’Oxfam Walkers, c’est une course ou il y a plus de 2000 personnes, tous ces organisateurs de courses et j’en passe parce qu’il y a le trail des trois dauphins, on doit avoir une bonne quinzaine de courses chaque année qui nous achètent des produits et donc là aussi, quand on a pas les moyens de les offrir, on leur fait des prix coutants. Ça leur permet d’offrir un ravito ou d’offrir une barre de qualité dans le sac « Coureur » au prix d’un mars je dirais, et puis nous ça nous permet de faire connaitre la marque à moindre cout. Voilà on retrouve un deal comme ça. Mais c’est vrai qu’on est énormément sollicité quasiment tous les jours je reçois une demande de sponsoring qu’elle soit d’une course ou d’un athlète; ça malheureusement on ne peut pas le faire.
J.-M.: D’accord. Tu as parlé, tu as dit tout à l’heure le marché de la diététique sportive a évolué énormément, maintenant Mulebar qui est arrivé depuis 3 ans, quel est le concurrent le plus sérieux qui se rapproche de la philosophie de Mulebar?
Grégoire DANDRES : En France pour l’instant il n’y en a pas, certaines marques essayent, j’ai parlé tout à l’heure d’Overstims, je n’ai rien contre eux, mais ils savent que c’est le leader et c’est vrai que c’est une marque incontournable, mais si tu prends les derniers lancements d’Overstim, ils ont lancé une marque qui s’appelle le Perf’n délice et comme par hasard ils ont lancé une référence à l’abricot cannelle, pardon pomme cannelle, c’est-à-dire notre barre Strudel, ils ont lancé une barre aux fruits rouges et une barre passion mangue, c’est relativement proche (rire) de nos barres historiques. C’est plutôt pour nous un encouragement parce que quand un leader, en vient à copier une petite marque, ça veut dire que la petite marque a tout compris, a le bon choix, donc c’est plutôt une reconnaissance pour nous. Et puis bon, j’ai goutte les produits, ils sont très bons les produits d’Overstim’s, mais ce n’est pas la même chose de Mulebar, ça ne nous inquiète pas plus que ça, sinon les marques qui se rapprochent le plus et plus une marque comme Clea barre, une marque américaine qui avait d’ailleurs été, lorsque Alex et Jimmy ont créé Mulebar, le modèle qu’ils avaient essayé à la fois de suivre et même d’améliorer, parce qu’elle a les mêmes engagements pour la planète et on est sur des types de produits relativement similaires. Sinon en France aujourd’hui, je dirais en terme de gout, je n’ai pas vu arriver sur le marché de produit qui équivalait Mulebar. Au niveau énergétique aucun souci, toutes les marques arrivent à faire le job, mais au niveau gout à fournir comme ça du réconfort aussi parce que le mental compte autant que le physique sur des grosses sorties, sur des grosses courses; c’est vrai que pour l’instant on a la chance d’être la seule marque à pouvoir répondre à ces deux attentes.
J.-M.: D’accord. Maintenant on va passer aux questions des lecteurs du blog, des questions qui sont arrivées sur les forums de discussion, une question qui revienne très très souvent c’est à quand une barre salée pour les efforts longs?
Grégoire DANDRES : Ouais, c’est vrai, c’est une question que j’ai encore eue la semaine dernière, ça fait de nombreux mois et d’années qu’on nous en demande et en fait, on s’aperçoit d’une chose pour l’instant c’est qu’il y a de la demande, mais plutôt dans le trail, c’est un des seuls sports ou il y a de la demande finalement, donc même si c’est un sport qui explose, je dirais le nombre de consommateurs n’est pas suffisant pour justifier d’une production à échelle industrielle parce que Mulebar, même si c’est fabriqué dans une petite usine, ça reste de l’industrie. Donc voilà c’est le marché n’est pas assez large , n’est pas assez important pour justifier une production. Donc on a vu récemment que Journey bar, qui est une marque américaine distribuée en France vient d’arriver avec des produits très intéressants; bon on va voir ce que ça donne, mais pour l’instant ça reste anecdotique, ça ne justifie pas de lancer une référence salée.
J.-M.: D’accord. Est-ce qu’il arrivera de nouveaux produits en préparation, enfin des nouveautés qui vont arriver. Tu peux en parler un petit peu ou…?
Grégoire DANDRES : Pour aller de l’avant, il faut développer les gammes, il faut innover donc, oui il y a des projets sur une gamme de petites barres. Normalement début 2013 la gamme de 30grs devrait être changée.Sinon en terme de parfum, il y a plusieurs parfums a l’étude parce c’est pas très complique de faire des choses qui ont du gout. Il faut juste en avoir la volonté, je pense. Mais voilà le problème après encore une fois, c’est au point industriel, c’est le problème de ressource aussi. Mulebar c’est une petite société qui n’a pas des moyens pour l’instant démesurés; et lance une nouvelle référence ; et avoir une nouvelle référence en stock cela a des implications financières. Donc voilà, c’est un développement qui se fait je dirais, étape par étape sans les brûler sans les griller. Mais il y aura des nouveautés en 2013.
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J.-M.: D’accord. Une question qui a été posée aussi plusieurs fois sur une épreuve comme un trail de 50 ou 100 kilomètres, est-ce que tu aurais un plan diététique on va dire pour ces sportifs qui voudraient uniquement utiliser des produits Mulebar, les gels et les barres?
Grégoire DANDRES : Alors ce qu’on a toujours conseillé c’est de varier les plaisirs donc évidemment on conseille de partir avec plusieurs parfums parce que manger toujours la même chose et c’est ce que nous disent les trailers surtout ceux qui font du lourd, très rapidement ils saturent en sucre, ils saturent au niveau du gout, donc ils ont besoin d’autre chose. Nous on conseille de varier les parfums, on conseille même aussi de varier les produits et pourquoi pas les marques. Il faut des textures différentes, il faut du salé et sur le trail on sait qu’il y a des consommations des produits salés, on sait que les coureurs amènent des noix de cajou, certains ont des rondelles de saucisson; voilà chacun après a son propre plan d’entraînement nous on n’a pas la prétention d’imposer quoique ce soit aux gens, nous on est à dispositions des produits, on leur dit d’une part ça peut être consommer avant le départ ça peut être évidemment consommé tout au long du départ. On a les refuels plutôt pour après, pour ceux qui font vraiment des sorties, du sport tous les jours, car la protéine est nécessaire et puis le gel c’est plutôt pour les passages difficiles, les coups de boost. En vélo ça s’utilise avant des ascensions importantes et pareil en trail quand on sait qui va y avoir des moments un petit peu plus difficiles ou une baisse de tonicité ou quand le corps commence à faiblir. Le gel est intéressant parce que c’est un apport d’énergie beaucoup plus rapide que les barres, du fait qu’il est liquide ça passe plus rapidement dans le sang. Et voilà donc après a chacun de varier son alimentation aussi en fonction de l’effort. Les gens souvent nous demandent combien faut-il prendre de gel sur une course? Eh bien, ça va dépendre, il y a des gens qui courent le marathon sans rien prendre du tout, ils prennent que de l’eau; parce qu’ils vont courir en deux heures et demie ou 2 heures cinquante, mais c’est vrai que sur 2 heures cinquante pour un athlète qui a un très très bon niveau et qui connais bien son corps t’n’as pas besoin de tout ça; et puis voilà il y a des gens qui se font revendre 8 ou 10 gels pour 1 marathon, alors que nous on estime que ce n’est pas nécessaire. Ça peut provoquer des crampes de trop consommer, on s’aperçoit qu’il y a beaucoup de sportifs qui veulent se rassurer en emmenant un maximum d’énergie avec eux pensant que leur corps ne tiendra pas la longueur. Nous on dit attention sur un marathon, 4 à 5 gels largement suffisent quand d’autre dit qu’il en faut 8 à 10. Il faut aussi dire qu’on a des gels qui sont un petit peu plus gros et qui sont surtout très efficaces en capable vous en prendre trop.
J.-M.: OK, tu viens de parler de la barre de récupération refuel, il y a une question qui m’a été posée 2 ou 3 fois, est-ce qu’il peut être utilisé pendant l’effort?
Grégoire DANDRES : Il n’y a pas de contre-indication d’utiliser pendant l’effort, après nous on estime que pendant l’effort, le reproche qu’on peut avoir sur cette barre-là c’est qu’elle est beaucoup plus dure, beaucoup plus dense que les autres; donc c’est une barre qui est plus dure à mâcher, à mastiquer.Demandez un effort supplémentaire de masticage alors que le corps est déjà en train de subir des agressions parce qu’on court, parce qu’on pédale. Moi je trouve que c’est rajouté, c’est perdre de l’énergie et le but des barres protéinées c’est plutôt en fin d’activités, la protéine permet de reconstituer la masse musculaire donc normalement il n’y a pas besoin d’en prendre pendant l’épreuve. Après s’il y a que ça et et qu’on a faim et il y a comme de l’énergie dans ces barres-là bien sûr, mais il y a aucune contre-indication.
J.-M.: D’accord, d’ailleurs une petite explication sur ces barres à base de protéine ou des gels à base de protéine, on voit qu’en plus, dans la concurrence maintenant, des gels, des boissons énergétiques et de la protéine à prendre durant l’effort, quel est ton avis sur le sujet?
Grégoire DANDRES : Alors là, encore une fois , je ne suis pas si spécialiste en fait pour te répondre sur ce genre de question donc plutôt de dire des bêtises, je préfère m’abstenir, je ne sais pas si ces marques le font c’est qu’elles ont la caution de nutritionnistes pour le faire. Moi je te dis je ne pense pas qu’il y ait de contre-indication, après je ne sais pas quel est l’avantage de prendre de la protéine pendant l’effort. Je ne préfère pas m’aventurer sur ce genre de terrain.
J.-M.: D’accord. Y a-t-il des produits que vous avez testés tout seul, que vous avez essayés, et que vous ne les ayez jamais commercialisés, il y a des goûts bizarres, des goûts… pas bizarres, mais des goûts que vous n’avez essayés, mais jamais commercialisés?
Grégoire DANDRES : Écoute, au jour d’aujourd’hui non sur les barres, oui sur les gels. On avait participé au panel lors de la création des gels il y a deux ans, et c’est vrai qu’on avait essayé de goutter des gouts de banane notamment qui étaient peu intéressants parce qu’à la fois un peu plus fade je trouve et puis surtout qui existait déjà sur le marché. Le principe de la marque c’est d’apporter quelque chose de nouveau, si c’est copié des autres ça ne sert à rien, on n’a pas d’avantages concurrentiels, c’est pour ça qu’aujourd’hui par exemple on n’a pas de boisson parce que, faire une boisson en poudre qui serait meilleur que les autres, au jour d’aujourd’hui on n’a pas trouvé la solution. On a nos gels qui servent de boissons, mais on n’a pas de boissons en poudre, sinon c’est faire du copié et dans la philosophie ce n’est pas forcement d’aller faire ce que font les autres déjà.
J.-M.: D’accord. Mulebar a une question qui a été posée par les lecteurs du blog, Mulebar s’est surtout spécialisée dans les sports d’endurance, est-ce qu’un jour il y aura une gamme de produits qui soit pensée pour le sport comme le culturisme ou la musculation ?
Grégoire DANDRES : C’est ce que je te disais tout à l’heure, on a fait des tests dans les magasins très typés dans des protéines barres notamment, c’est très a la mode en ce moment. Mais il s’avère que les clients qui venaient acheter des mulebar dans ces magasins-là étaient des sportifs autres que de la muscu, on ne souhaite pas forcement aller sur la muscu parce il y a déjà énormément de marques. Souvent des marques américaines en fait, qui ne respectent pas la législation européenne, mais qui sont commandés par internet. C’est un marché vraiment très très particulier sur lequel on ne souhaite pas aller parce qu’on a en plus un positionnement on va dire très écolo, sans qu’il y est un sens politique. Le culturisme quand tu vois les photos sur internet je ne suis pas sûr que c’est très proche de la nature donc ce n’est pas dans notre philosophie, c’est pas trop notre truc, donc on laisse ça aux marques qui sont déjà implantées là-dessus. Et en plus c’est à base de pilules, de poudres ce n’est pas tout à fait le domaine de compétence que les Anglais ont, donc on laisse ça aux spécialistes.
J.-M.: D’accord, pour finir avant de passer au quiz Nutrition Sportif, j’ai une petite question; c’est sur la société Mulebar tu en as a parlé un petit peu tout à l’heure, c’est une petite société, il y a combien d’employés chez Mulebar?
Grégoire DANDRES : Eh bien écoute c’est très simple, en Angleterre ils sont quatre, en France moi je suis tout seul (rire), même si je suis aidé par un un commercial qui fait du phoning, voilà, qui répond au téléphone à mi-temps pour moi parce que je ne suis pas suffisamment disponible de par le job que j’ai à côté. Voilà en Angleterre ils sont 4 donc c’est une toute toute petite structure, ce qui fait qu’ ils ne peuvent pas non plus lancer 10 produits par an. Ils sont sur une croissance raisonnée gentiment, mais surement c’est la marque qui monte. Et on voit aussi en France où on ne cesse d’ouvrir de nouveaux magasins et tout ce passe bien pour l’instant.
J.-M.: Je rajoute a l’heure une ou deux questions qui me viennent à l’esprit, d’après toi quel est l’avantage de Mulebar sur ces concurrents?
Grégoire DANDRES : L’avantage qu’on a avec Mulebar c’est qu’on est vendu dans des circuits où les concurrents ne sont pas. C’est-à-dire qu’on est dans des magasins bio et là on est tout seul. On est vendu même dans des distributeurs automatiques, dans des bureaux parce qu’on est une barre céréale avant tout donc il y a des gens qui préfèrent prendre un Mulebar en fin de journée quand ils ont une petite faim que prendre un kinder bueno, c’est quand même un peu plus sain et naturel. Donc voilà… et puis on est présent dans le golf, dans le tennis, dans des sports où ne sont pas du tout nos concurrents parce que tout le monde se focalise sur le cyclisme, sur le VTT et sur la course à pied. C’est pour ça qu’il a beaucoup de marques là-dessus; mais nous dans l’escalade on est tout seul, on est dans quasiment toutes les salles d’escalade en France. Quand je dis salle d’escalade privée bien sûr, on n’est pas dans les gymnases. Donc ça montre à la fois que le produit, il plait aux gens qui aiment la nature parce que les gens qui font de l’escalade ils sont souvent très secs, très fins, ils font très attention à ce qu’ils mangent, souvent c’est du bio. Et là on est tout seul, on est royal au bar donc, c’est pour ça qu’il faut aussi savoir aller sur d’autres sports.
J.-M.: Mulebar est une petite société avec de petits moyens, quelle est votre stratégie commerciale pour essayer d’exister parmi tous ces gros?
Grégoire DANDRES : Malheureusement c’est parce que tu as de bons produits que tu deviens gros, mais ça avec nous on a très peu de moyens et dès le début on a plutôt choisi d’utiliser les réseaux sociaux. Ce qui fait que, on est, je pense, la marque la plus active sur Facebook, avec le nombre d’amis, le nombre de fans, tu regardes nos concurrents, ils n’ont pas du tout le même genre d’audience. On a surtout un ton qui est très décalé aussi, c’est que nous on part du principe qu’on fait ça pour s’amuser. On peut aussi déconner sur notre page Facebook quoi, quand je dis c’est je maintenant, ça je parle au pluriel, mais… je déconne des fois quand une marque établie ne peut pas faire évidemment, mais bon bah voilà…quoi on a un ton décalé, des produits décalés, on se prend pas la tête, ceux qui nous aiment tant mieux, ceux qui ne nous aiment pas on s’en fou quoi.
J.-M.: Bon c’est super, on va vous souhaiter une bonne continuation.
Grégoire DANDRES : Eh bien écoute, merci beaucoup.
J.-M.: On va finir par le quiz Nutrition Sportif, c’est de petites questions avec des réponses faciles à faire, mais il faut donner les réponses sans trop réfléchir.
Grégoire DANDRES : D’accord.
J.-M.: Tu vas voir, ça va aller vite. Si je te dis porte-bidon ou sac à dos?
Grégoire DANDRES : Porte-bidon.
J.-M.: Gel ou barre ?
Grégoire DANDRES : Barre.
J.-M.: Cuissard ou short?
G.M.: Cuissard.
J.-M.: Blonde ou brune?
Grégoire DANDRES : Les deux.
J.-M.: (rire) là au moins tu te mouilles pas, Dawa Sherpa ou Kilian Jornet?
Grégoire DANDRES : Dawa
J.-M.: UTMB ou Grand raid de la Réunion?
Grégoire DANDRES : Grand raid de la Réunion.
J.-M.: Casquette ou bandana?
Grégoire DANDRES : Bandana.
J.-M.: Séance seuil sur piste ou Farleck à nature?
Grégoire DANDRES : Farleck Nature bien sûr.
J.-M.: Sucré ou salé?
Grégoire DANDRES : Sucré.
J.-M.: Foot ou Rugby?
Grégoire DANDRES : Rugby.
J.-M.: Ah… ça, c’est super. Bon je te remercie pour cette interview Grégoire.
Grégoire DANDRES : Moi je te remercie Jean-Marc, et je te dis à bientôt.
J.-M.: À bientôt Greg et merci pour cette interview enrichissante. Ainsi s’achève cette émission que vous pourrez retrouver sur le blog nutrition-du-sportif.com ainsi que la retranscription texte de cette interview. À bientôt et merci de nous avoir suivis.
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source: http://nutrition-du-sportif.com/interview-audio-avec-greg-de-mulebar/